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Cela arrive un jour, Attendons notre tour. Le temps ne compte pas... Jusqu'au jour du trépas ! Sur le quai d'une gare, Devant un triste hangar, Sur un bout de trottoir, Ou celui d'un comptoir. Une équipe d'amis, C'est comme l'alchimie: Ouverture des esprits Et chants des cœurs compris. Autour d'une table, Tout devient palpable. Les souvenirs s'égrènent, De l'amour, ils sont graines. Dehors il peut pleuvoir, Ce fait n'est qu'accessoire ! Goûtons l'instant présent, Il est fertilisant. Mais tout a une fin ! On reste sur sa faim. Il faut bien se quitter, Pour se réinviter. |
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